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Fluoré (Le)

Colias alfacariensis Ribbe, 1905

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Lepidoptera
  • Pieridae
4.0 | P. Haffner

Répartition

Présence certaine
Indéterminée
Absence certaine ou probable
Non concerné
Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v17.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Indigène
  • Présence certaine
  • Assez commune
  • Notable
  • Non endémique

Périodes d'observation

Adulte

Janv.
Févr.
Mars
Avril
Mai
Juin
Juil.
Août
Sept.
Oct.
Nov.
Dec.

Larve

Janv.
Févr.
Mars
Avril
Mai
Juin
Juil.
Août
Sept.
Oct.
Nov.
Dec.

Difficulté de détermination

  • Moyen

    Sauf cas particuliers :

  • Facile
  • Difficile

Répartition

Carte présence
Présence certaine
Indéterminée
Absence certaine ou probable
Non concerné
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille :

Adulte : 35 - 45 mm

Diagnose :

Le mâle est jaune fluorescent avec une bande noire à l’apex de l’aile antérieure et une tache discoïdale orange sur l’aile postérieure. Le dessous des ailes postérieures présente une tache blanche en forme de 8 cernée de rose. La femelle est de couleur blanc craie. La chenille est vert turquoise avec quatre lignes jaunes et quatre rangées de points noirs.

Détermination :

La détermination des adultes de cette espèce est délicate.

Espèces proches :

La distinction avec le Soufré (Colias hyale) est difficile au stade adulte. La détermination des chenilles est plus fiable.

Période d’observation :

L’adulte est visible d’avril à octobre.

Biologie-éthologie :

Le fluoré réalise entre une à trois générations par an selon le climat. Les chenilles se nourrissent exclusivement des feuilles d’Hippocrépis à toupet bien que certaines populations se développent localement sur l’Hippocrépis glauque, la Coronille bigarrée et l’Anthyllis de Gérard. Les femelles posent les œufs un par un sur le dessus ou le dessous des feuilles de la plante hôte.

Biogéographie et écologie :

Le fluoré est une espèce eurasiatique présente de la péninsule ibérique à la chine. En Europe centrale et méridionale, elle se rencontre de préférence dans les pelouses sèches calcicoles, mais elle fréquente également les prairies humides et les champs de Trèfle et de Luzerne. Elle se reproduit du niveau de la mer jusqu’à 2°400 m d’altitude.

D’après

Bellmann, H. (trad. Luquet, G.), 2013. Quel est donc ce papillon ? Les guides Nathan. Paris. 449 p.

Doux Y., Gibeaux C., 2007. Les papillons de jour d’Île-de-France et de l’Oise. Biotope, Mèze. Muséum national d’Histoire naturelle, Paris. 288 p.

Lafranchis, T., Jutzeler, D., Guilloson, J.-Y., Kan, P., Kan, B. 2015. La vie des papillons. Editions Diatheo. Montpellier. 751 pp.

Lafranchis, T. 2016. Papillons de France. Editions Diatheo. Montpellier. 351 pp.

J. Ichter - 2019

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

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96

données

2

mailles 10x10km

6

communes

49

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Dordogne

(24)

1.2%

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